Les auditions des PDG des grandes entreprises technologiques (à ne pas confondre avec Big Tech) ont démontré que les membres du Congrès et les PDG des entreprises technologiques ne se comprennent pas. On peut même dire qu’ils parlent des langues différentes. Et c’est triste.
Il est certain que le oui ou le non deviendra un mème, au moins dans des cercles restreints.
Parce qu’il n’y a pas de réponses faciles aux questions difficiles. Et l’influence des algorithmes sur le comportement humain et l’élaboration de l’agenda n’en est qu’une. Et il est très imprudent d’exiger une réponse simple dans une telle situation.
Et il a démontré que personne ne sait comment ce problème peut évoluer et quel type de solution il peut obtenir. Peut-être n’y a-t-il pas de solution du tout. Cependant, une chose est claire. Ce dilemme ne peut être résolu par les membres du Congrès (parce que, souvent, ils n’ont tout simplement pas une connaissance suffisante de la technologie et sont généralement peu au fait de la nouvelle réalité de l’Internet) et ne peut être résolu par les entreprises elles-mêmes (parce qu’elles sont intéressées par le maintien d’une liberté d’action maximale).
Ainsi, malgré tout le battage médiatique qui entoure ces audiences, elles ont une signification bien moindre que ce que beaucoup pourraient croire.